| L’excès de faire, une alerte au mal-être |
| Quelle est la différence entre faire mieux et faire plus ? Faire mieux permet de réfléchir, laisser murir, faire évoluer et enclencher un projet réfléchi. Cependant, il est vite fait de se perdre dans l’hyperactivité, reflet d’un profond mal-être où l’on essaie de combler notre mental et ainsi surmonter ou fuir des situations délicates de notre vie. Dans la majorité des cas, ces personnes vont tenter de rechercher à l’extérieur ce qui leur fait tant défaut à l’intérieur. Et ainsi se mettre dans l’excès du « faire » et de se sentir utile. Inconsciemment, elles se savent en décalage par rapport à leur valeur au lieu de s’arrêter pour comprendre le problème et le prendre à bras le corps. Elles vont se mettre en veille par rapport à leurs ressentis intérieurs, de leurs besoins, de prendre soin d’elle. Elles se replient sur elles-mêmes, vidées de leur énergie vitale, pouvant éviter aussi tout moyen de communications verbales. Elles ne s’écoutent plus et surtout ne s’entendent plus. Si elles s’étaient écoutées qu’auraient elles entendues ? Le mot « Arrête ». “Regarde toi sans te juger”. Une nécessité de répondre à leurs propres besoins plutôt qu’à leurs injonctions internes et aux contraintes sociétales. Non s’arrêter et craquer n’est pas un signe de faiblesse mais de dysfonctionnement interne qui requiert une solution. Car si vous utilisez votre corps telle une machine, âme-corps-esprit-énergie alors vous allez à votre perte. Quand vous en arrivez à ce stade, c’est que votre ordre de fonctionnement est le suivant : Avoir plutôt qu’être. Et vous finissez par être ce que vous faites. Ce qui devient inquiétant car si l’on vous ampute de votre activité ou action, ou de votre activité phare, vous n’êtes plus qu’une coquille vide. Qu’est-ce que les gens cherchent dans le« faire » ? La grande majorité des gens que je rencontre le font pour exister. Avoir un agenda bien rempli, cela revient à être quelqu’un d’important. Avoir un portefeuille bien garni est signe de réussite. Etc. Au fil des ans, une dépendance contre valeurs et contre nature s’installe avec la perfection imposée par la société et les besoins externes que la personne cherche ainsi à nourrir par des actions. Les besoins externes sont des besoins construits qui ne répondent en rien à notre réalité, contrairement à nos besoins internes qui eux naissent de nos croyances et se matérialisent par le biais de nos valeurs. Alors quoi faire pour arrêter l’excès du faire ? · Repartir de votre noyau, de qui vous êtes et de ce qui vous fonde à savoir vos croyances qui vous permettre de filtrer le monde. · Comprendre que vos actions, celles qui vous portent dans la fluidité et vous amènent le bonheur et la gratitude émanent de vous, de votre cœur. En d’autres termes, vous allez agir en congruence avec qui vous êtes et la facilité viendra nourrir votre confiance en vous. Ici, le faire ne sera plus douloureux et contre nature mais fluide et répondant à qui vous êtes. Conjugué à un travail de fond en Psycho-énergétique EPCH, le changement sous-jacent va opérer dans une mise en adéquation de vos vrais besoins avec vos croyances positives. C’est ainsi que l’on accroit tant en sérénité intérieure et en évolution et construction positive pour une vie épanouie. Vous arrêtez enfin de faire pour être et vous vous mettez à être pour faire et enfin matérialiser (avoir). Dès lors, vous passez en mode CREATIF et non plus réactif. Vous êtes capable d’inventer et de créer votre vie. Pour plus de renseignement, n’hésitez pas à me contacter par Sms ou Whattsapp. Avec le cœur, Céline Hadjadj. |
